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Lukea Livres

15 mars 2014

Ostinato en vadrouille #3 : Spécial Londres #1 : Le Théâtre du Globe.

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     Comme promis lors du bilan mensuel de février, je vais vous raconter les différentes visites que j'ai pu faire lors de mon séjour à Londres. Je vais ainsi commencer cette série de billets "Spécial Londres" de la rubrique "Ostinato en vadrouille" avec ma chronique sur ma visite du Théâtre du Globe afin d'honorer le challenge de Claudia Lucia consacré à Shakespeare où je viens tout juste de m'inscrire.

     Situé de l'autre côté de la Tamise, plus précisément dans le quartier de Bankside, Le théâtre du Globe que nous pouvons actuellement visiter n'est pas celui qui a été construit à l'époque de Shakespeare. C'est une reproduction fidèle à celui qui a brûlé en 1613, lors de la représentation d'une des dernières pièces de Shakespeare, en raison des canons utilisés en tant qu'effets spéciaux qui ont explosés.

     Plusieurs siècles ont passés et dans les années 1950, l'acteur américain Samuel Wanamaker, déçu lors de sa visite à Londres de ne voir qu'une simple plaque pour rappeler l'emplacement du théâtre, décide de récolter des fonds pour sa reconstruction. C'est ainsi qu'il mit plusieurs décénnies avant d'entamer la construction du théâtre, faute de moyens finnanciers suffisants. Malheureusement, Wanamaker mourut trois ans avant l'inauguration du lieux et aura porté ce projet toute sa vie sans en avoir l'apperçu final.

     Le rendu est absolument magnifique, l'atmosphère des théâtres élisabéthiens est parfaitement restituée. On a vraiment l'impression de se trouver dans le théâtre du XVIème siècle. La visite guidé proposée sur le site est très bien faite : riche et complète, elle se teinte d'humour british et la guide nous a racontée de nombreuses annecdotes. Toutes les parties du théâtre ont été expliquées : le lieux, les costumes, les accessoires, les pièces, les représentations de l'époque, les effets spéciaux... Pour ceux qui ne maitriseraient pas la langue de Shakespeare, le théâtre met également à disposition des audioguides disponibles en plusieurs langues (dont le français), mais vous n'aurez pas la partie "humour" de la visite.

     De plus, la visite du théâtre s'accompagne d'une exposition permanente située en intérieur, où l'on détaille les conditions théâtrales à l'époque de Shakespeare et sur la reconstruction du théâtre. On en apprend plus sur la création artistique à cette époque, les troupes de théâtre ou encore sur la figure de Samuel Wanamaker. Egalement très complète et agrémentée de vidéos ainsi que de nombreux objets, cette partie de la visite peut sembler superflue après la visite guidée mais elle ravirera les passionnés.

     Vous aurez compris que j'ai beaucoup apprécié cette visite du Shakespeare's Globe et je la conseille à tous les amateurs de théâtre en général, de Skakespeare plus particulièrement, mais aussi aux férus d'histoire des arts. La visite est facile d'accès pour le grand public car les explications sont simples et claires, elle peut donc se faire avec toute la famille.

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Ce billet est le premier de la série "Spécial Londres" et sera prochainement suivi de deux autres billets sur mes autres visites dans la capitale britannique. Il rentre également dans le cadre de plusieurs challenges auxquels je participe : le challenge "Shakespeare" chez Claudia Lucia, le challenge "Théâtre" chez Eimelle et le challenge "L'art dans tous ses états" chez Shelbylee.

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8 mars 2014

La fille sur le coffre à bagages, de John O'Hara.

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     Lu au mois de novembre 2013, c'est-à-dire il y a maintenant cinq mois, j'ai enfin décidé de sortir de ma léthargie légendaire (je vous avait déjà fait le coup avec le Lion de Kessel au mois de janvier) pour vous chroniquer ce court livre qui m'a beaucoup plu. 

      Ce roman est ma première incursion dans l'univers littéraire de John O'Hara surnomé le "Balzac américain" par les critiques anglos-saxons. A travers ce roman de 120 pages environ, l'auteur nous immerge dans le New-York de la Prohibition auprès de James Malloy, un obscur attaché de presse pour une société de production de cinéma, ainsi que de la célébrissime actrice Charlotte Sears vivant ses dernières heures de gloire aux côtés de son riche amant lié étroitement à la pègre.

    On est totalement plongé dans cet univers désenchanté qui concentre l'élite artistique et finnancière des Etats Unis. L'ancienne New York est concurrencée par la jeune Los Angeles, l'élite du pays se pavane en manteaux de fourrure et en tenues de soirées hors de prix, en allant de cocktails en vernissages en quête d'un éclat pour mieux supporter leur existence. L'alcool coule à flots bien que sa consommation soit interdite, mais le mal-être d'une génération l'emporte sur les législations, les convenances et le qu'en-dira-t-on. 

      A travers ce portrait désabusé de sa génération, l'excellent John O'Hara questionne son lecteur sur le sens de l'existence, de la réussite et du bonheur. En effet, la célèbre Charlotte Sears noie son dégoût de l'existance dans les bars clandestins (appelés speakeasy) ou dans les réceptions de la haute bourgeoisie qui est en quête d'un sens à leurs vies. Grâce à James, le temps de quelques mois, sa vie reprend de l'éclat et elle semble revivre, jusqu'à un terrible évènement qui changera le cours de sa vie à tout jamais...

     J'ai aimé cette histoire en apparence simple mais finalement plus complexe qu'elle n'y parait. J'ai lu le roman il y a plusieurs mois déjà, mais j'en garde encore un souvenir très net et positif. C'est généralement comme ça que l'on reconnait les bons romans. On est surpris par le déroulement du récit ainsi que par le dénouement final qui laisse assez songeur.

     J'ai beaucoup apprécié le style de cet auteur qui reste assez méconnu en France. Membre des "Enfants du jazz", ses amis sont Francis Scott Fitzgerald et Ernest Hemingway. John O'Hara est sans doutes un des auteurs les plus doués de sa génération. Il commence enfin à être traduit en France et ses romans sont également disponibles en formats de poche. Il se trouve que j'ai deux autres romans de lui dans ma PAL : L'enfer commence avec elle (adapté au cinéma en 1960 sous le titre La vénus au vison) et Une lueur de paradis, autre aventure de James Malloy qui se déroule cette fois-ci durant l'âge d'or d'Hollywood. Je pense donc transformer l'essai après cette première lecture plus que satisfaisante de cet auteur.

Ce livre est ma deuxième participation au challenge d'Asphodèle consacré à Francis Scott Fitzgerald et les Enfants du Jazz.

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5 mars 2014

Un nouveau look pour Lukea Livres !

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En visitant ce blog aujourd'hui, vous vous êtes rendu compte d'un grand changement sur ce blog. Eh oui, Lukea Livres fait peau neuve pour offrir un meilleur confort de navigation ! 

J'espère que ce nouveau design vous plait, si jamais c'est le cas faite le moi savoir en commentaire ;)

En attendant de vous retrouver pour des billets plus consistants, je vous souhaite une bonne fin de semaine !

1 mars 2014

Bilan mensuel n°8 : Février 2014.

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          Contrairement au mois de Janvier où j'avais débuté le Plan Orsec 2014 avec énergie et motivation en lisant deux livres de plus par rapport à mon objectif initial, durant le mois le plus court de l'année j'ai lu le strict minimum, c'est-à-dire 3 livres (dont un tout petit). J'ai de plus fait une petite entorse à mon objectif premier, à savoir ne pas faire de nouveaux achats avant d'avoir lu 10 livres au minimum depuis le 1er Janvier 2014. J'ai lamentablement échoué en achetant 3 livres (La contrebasse de Patrick Süskind, Rendez-vous à Bagdad d'Agatha Christie et Quand l'empereur était un dieu de Julie Otsuka) L'heure est donc au bilan des lectures effectuées ce mois-ci :

           Après un mois de Janvier enchanteur où j'ai eu la chance de n'avoir eu que des bons moments de lecture, j'ai eu en Février la malchance de commencer le mois sur une cuisante déception en lisant L'extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire IKEA  de Romain Puértolas qui est d'ors et déjà chroniqué sur ce blog (c'est d'ailleurs le seul pour le moment.) Je ne vais donc pas m'étendre dessus.

       Alors que le film sortait le 5 février au cinéma, j'ai lu ce mois-ci La mécanique du coeur de Mathias Malzieu afin d'en voir l'adaptation cinématographique ensuite. J'avais lu de nombreux avis dithyrambiques sur la blogosphère littéraire avant de me lancer, ce qui fait que j'étais très impatiante d'entamer cette lecture...et j'ai très vite déchanté. Sans être une déception car j'ai plutôt bien aimé ce roman, je dois avouer que le livre ne m'a pas fait beaucoup d'effets et que je m'attendais à mieux. J'ai néanmoins trouvé que l'auteur était très prometteur et je lirais volontiers un autre de ses ouvrages pour me faire un avis plus juste.

            J'ai terminé le mois de Février en lisant une longue nouvelle de Marcel Aymé intitulée La bonne peinture. Paru dans la collection Folio 2€, cette nouvelle est la première oeuvre que je lis de l'auteur des Contes du Chat perché. J'ai apprécié le mélange entre l'univers fantastique de la nouvelle et la description du monde de l'art faite par l'auteur qui donne un mélange détonnant assez sympatique. Une découverte agréable mais ce n'est malgré tout pas un coup de coeur.

       Le manque de lectures entousiasmantes ce mois-ci explique sans doute la petite baisse de régime concernant la fonte de ma PAL et l'envie de m'adonner à d'autres loisirs que celui de la lecture. C'est pour cette raison que la rubrique "Ostinato en vadrouille" sera plus fournie que d'habitude en la présence de plusieurs articles mentionnés "Spécial Londres". Ma nouvelle visite de la capitale britannique m'a une fois de plus enchantée et les différentes visites que j'y ai faite m'ont passionnées. Je vous les détaillerais dans les semaines à venir. De plus, j'ai eu l'opportunité de participer à une visite guidée de l'exposition "Le suréalisme et l'objet" au Centre Pompidou ce qui me permettra de mettre cette visite en paralèle avec ma lecture prochaine du recueil de poèmes d'Eluard et Man Ray Les mains libres

    Février aura donc été plus axé sur la culture artistique que littéraire mais je pense qu'il est parfois important de découvrir de nouveaux horizons et d'aller en dehors de nos habitudes, ne serait-ce que pour mieux y revenir après... 

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18 février 2014

Le crime du golf, d'Agatha Christie.

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    Il y avait bien longtemps que je ne m'étais pas plongée dans un des nombreux romans de "La Reine du crime" Agatha Christie. C'est désormais chose faite avec Le crime du golf, deuxième aventure du célèbre détective Hercule Poirot qui se déroule exceptionnellement en France et plus particulièrement dans la région de Calais.

    Poirot, accompagné pour l'occasion du capitaine Hastings, a été engagé à la suite d'un appel au secours lancé par M. Renauld, un riche homme d'affaire ayant un lourd passé en Amérique du Sud. Néanmoins lorsque le détective arrive sur place, le commité d'accueil promis dans la lettre n'est pas au rendez-vous. Et pour cause : M.Renauld a été assassiné la veille au soir à son domicile ! 

    C'est dans cette atmosphère étrange de meurtre, de suspicion et de mystères que Poirot et Hastings mènent leur enquête. L'affaire est plus complexe qu'elle n'y parait et de nombreuses zones d'ombres figurent dans ce tableau particulier. Quels étaient les véritables intérets de M. Renauld en l'Amérique du Sud ? Pourquoi avoir envoyé cette étrange lettre à Hercule Poirot peu avant le meurtre et ce, sans avoir averti son épouse ? Quelles sont ces deux femmes qui, selon les domestiques, venaient régulièrement chez lui le soir ? Tant de questions sans réponses claires qui mettent en déroute notre bonne Police Nationale et plus particulièrement l'inspecteur Giraud, archétype de l'arrogance et du snobisme parisien. Mais c'était sans compter sur les talents de déduction et d'analyse du grand Hercule Poirot...

    J'ai apprécié renouer avec la prose d'Agatha Christie que je n'avais pas lue depuis plusieurs années. J'y ai retrouvé cette ambiance désuète et prestigieuse qui caractérise ses romans ainsi que le caractère, pas toujours agréable, d'Hercule Poirot. Dans ce roman, la deuxième aventure du détective belge après La mystérieuse affaire de Styles, Poirot commence à ressembler au Poirot que nous connaissons tous, bien qu'il soit plus jeune et plus vif. Il est ainsi agile et furtif, ce qui dénote avec son image habituel de celui qui résout les énigmes grâce à ses "petites cellules grises" en restant assis dans son fauteuil. Quant au capitaine Hastings, l'éternel faire-valoir à la psychologie aussi épaisse que du papier à cigarette, il prend, une fois n'est pas coutume, un semblant de consistance grâce à une sous-intrigue qui lui est consacré. Il reste cependant fidèle à lui-même, c'est à dire pas très éveillé.

    L'intrigue était intéressante et recherchée (elle s'inspire d'ailleurs d'un fait divers de l'époque), et son déroulement connait de nombreux bouleversements. L'auteure m'a littéralement ménée par le bout du nez, si bien qu' à chaque fois que je pensais avoir trouvé le coupable, je me trompais largement ce qui ne fait que décupler le plaisir de la lecture. J'ai été surprise par le dénouement de l'affaire et de l'histoire mais je l'ai tout de même apprécié... ce qui m'a donné envie d'en lire d'autres aventures de Poirot dans les mois qui viennent ! 

Ce billet rentre dans le cadre de deux challenges auxquels je participe chez George le "Plan Orsec 2014" et le challenge "Agatha Christie" (1ère partcipation)

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14 février 2014

L'extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire IKEA, de Romain Puértolas

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    Un roman qui a fait sensation lors de la rentrée littéraire de 2013 avec un titre à rallonge et une couverture qui attire l'oeil : telle à été ma première pensée lorsque j'ai tenu entre mes mains L'extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire IKEA de Romain Puértolas, un roman contemporain avec un titre de trois kilomètres et demi qui annonce une histoire loufoque et rocambolesque comme je n'en n'avais pas lue depuis longtemps. 

    J'avais donc un apriori positif sur ce livre qui avait bonne impression auprès des blogueuses littéraire, mais malheureusement ma lecture s'est très rapidement tranformée en déception durant une grande partie du roman. Néanmoins la fin sauve un peu l'ensemble à mes yeux et permet de terminer la lecture sur une note plus positive.

    Alors pourquoi n'ai-je pas aimé L'extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire IKEA ? L'histoire de ce fakir bourlingueur malgré lui ne m'a pas faite rire, ni même sourire un seul instant bien que je sois habituellement "bon public". L'humour utilisé m'a semblé assez lourd (comme par exemple la façon de prononcer le nom des personnages qui était sensé nous faire décocher un sourir ou encore les jeux de mots usés du type "Lavash (sacrée)") et l'auteur utilise le comique de répétition un peu trop à mon goût, ce qui est tout de même assez lassant à la longue. 

    De plus le personnage principal, Ajatashatru Lavash Patel, m'a semblé assez plat, il très (trop?) naïf, on a du mal à saisir sa psychologie et on a donc du mal à s'identifier à lui tout comme pour les autres personnages. On a l'impression d'avoir affaire à des embreyons de personnages, on sent où l'auteur veut en venir mais il ne va pas au bout des choses, ce qui est assez décevant.

   Je dois cependant reconnaitre certaines qualitées à l'auteur car tout n'est pas à jeter dans ce roman, loin de là. En effet, Romain Puértolas est très bon pour dépeindre les conditions de vie des immigrés clandestins vers l'Europe et plus particulièrement l'Angleterre. Sans être trop dans le pathos, il tend à décrire leur quotidien difficile de la manière la plus juste possible en vue de mettre en lumière l'injuste traitement auquel ils doivent faire face tous les jours. Ces parties militantistes qui prennent en compte les problématiques politiques actuelles sont selon moi les plus réussies de ce roman mais elles ne suffisent malheureusement pas sauver l'ensemble.

   Bref, vous l'aurez compris cette réécriture de Candide des années 2010 ne m'a absolument pas convaincue et je n'aime pas être "fâchée" avec un livre et son auteur comme ça été malheureusement le cas ici. C'est assez rare pour le souligner, mais j'aimerai tout de même lire un autre ouvrage de Puértolas afin de me faire un avis plus complet sur cet auteur et peut-être avoir ainsi une opinion plus favorable.

Ce livre a été lu dans le cadre du jeu sur Livraddict "Choisir le prochain livre de ma PAL" car il m'a été choisit par Bountyfrei et il me permet d'ajouter une nouvelle participation au "Plan Orsec 2014" de George. Il est également une participation à la session de février 2014 (Un adjectif dans le titre) du challenge de Métaphore "Jacques a dit..." et une participation rétroactive au challenge "A la découverte de l'Inde" proposé par Darkness sur Livraddict.

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10 février 2014

Récapitulatif du challenge "Seconde Guerre Mondiale"

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Voici le récapitulatif du challenge où je mets tous les liens par participant(e)s afin d'y voir plus clair ! Vous pourrez également déposer vos liens dans les commentaires ci-dessous.

Eimelle :

- Billet de présentation

- Bérénice 34-44, d'Isabelle Stibbe (rétroactif)

- Le Maestro : A la recherche de la musique des camps, de Thomas Saintourens (rétroactif)

- La scène des souvenirs, de Kate Morton (rétroactif)

- Les mots du passé, de Jean-Michel Denis (rétroactif)

- L'affaire Jean Moulin, trahison ou complot ? de Jacques Gelin (rétroactif)

- La voleuse de livres, de Markus Zusak. 

- Kinderzimmer, de Valentine Goby.

 

Nelcie :

- Billet de présentation

- HHhH, de Laurent Binet (rétroactif)

- La mort est mon métier, de Robert Merle (rétoactif)

- La part de l'autre, d'Eric-Emmanuel Schmitt (rétroactif)

- Le pianiste, de Wladyslaw Szpilman (rétroactif)

- Si c'est un homme, de Primo Lévi. (V.O)

 

Ostinato (Organisatrice) :

- Billet de présentation

- Un secret, de Philippe Grimbert (rétroactif)

- Quand l'empereur était un dieu, de Julie Otsuka.

- Des gens très bien, d'Alexandre Jardin.

- Urgence, de Christian Grenier.

 

Darkness :

- Inconnu à cette adresse, de Katherine Kressmann Taylor. (rétroactif)

- Elle s'appelait Sarah, de Tatiana de Rosnay. (rétroactif)

- Le code Rebecca, de Ken Follett. (rétroactif)

- Les amants de Samaroux, de Natasha Ferrant. (rétroactif)

- Max, de Sarah Cohen-Scali. (rétroactif)

- Un doux parfum de lavande, de Belinda Alexandra. (rétroactif)

- La voleuse de livres, de Markus Zusak.

 

Miss Léo :

- Billet de présentation

- Journal, d'Hélène Berr (rétroactif)

- Sauver Mozart, de Raphaël Jerusalmy (rétroactif)

- Amours fragiles, de Beuriot et Richelle (rétroactif)

- Le complot contre l'Amérique, de Philip Roth (rétroactif)

- Blitz, de Connie Willis (rétroactif)

- Le liseur, de Bernard Schlink (rétroactif)

- Deux dans Berlin, de Birkefeld et Hachmeister (rétroactif)

- Qui se souvient de Paula ?, de Romain Slocombe (rétroactif)

- Le grand cahier, d'Agota Kristof (rétroactif)

- Quand l'empereur était un dieu, de Julie Otsuka (rétroactif)

- Le violon d'Auschwitz, de Maria Angels Anglada. (rétroactif)

- La chute de Berlin, d'Antony Beevor.

- Monsieur le Commandant, de Romain Slocombe.

- L'hiver du monde, de Ken Follett.

 

Argali :

- Billet de présentation 

- Le vol du frelon, de Ken Follett. (rétroactif)

- Le réseau Corneille, de Ken Follett. (rétroactif)

- Les étoiles de l'aube, de Bernard Gheur. (rétroactif)

- La dame de Berlin, de Franck Vautrin. (rétroactif)

- La trilogie berlinoise, de Philip Kerr. (rétroactif)

- La mort entre autres, de Philip Kerr. (rétroactif)

- Une douce flamme, de Philip Kerr. (rétroactif)

- Hotel Adlon, de Philip Kerr. (rétroactif)

- Vert-de-gris, de Philip Kerr. (rétroactif)

- Les cendres froides, de Valentin Musso. (rétroactif)

- Deux dans Berlin, de Binkenfeld et Hachmeister. (rétroactif)

- Dans le jardin de la bête, d'Erik Larson. (rétroactif)

- O.D.E.SS.A, de Michel Dufranne et PEKA. (rétroactif)

- Hitler et la franc-maçonnerie, d'Arnaud de la Croix. (rétroactif)

- La chute de Berlin, d'Anthony Beevor. (rétroactif)

- Le projet Bleiberg, de David S.Khara. (rétroactif)

- Le projet Shiro, de David S.Khara. (rétroactif)

- Hitler et les sociétés secrètes, de Philippe Valode. (rétroactif)

- Le violon d'Auschwitz, de Maria Angels Anglada. (rétroactif)

- Kinderzimmer, de Valentine Goby. (rétroactif)

- Pardonne-lui, de Jody Picoult. (rétroactif)

- Sigmaringen, de Pierre Assouline. (rétroactif)

- Le canari d'Hitler, de Sandi Toksvig. (rétroactif)

- La balafre, de Jean-Claude Mourlevat. (rétroactif)

- Je me souviens, Rebecca, de Nathalie Somers. (rétroactif)

- Inconnu à cette adresse, de Katherine Kressman-Taylor. (rétroactif)

- Swing à Berlin, de Christophe Lambert. (rétroactif)

- Max, de Sarah Cohen-Scali. (rétroactif)

- Lucie et Raymond Aubrac, de Bousquet et Schneeweis. (rétroactif)

- Qui se souvient de Paula ?, de Romain Slocombe. (rétroactif)

- Opération Iskra, de Lionel Noël

- Brouillard d'automne, de Lionel Noël

- Dans la gueule de la bête, d'Armel Job.

- Il est de retour, de Timur Vermes.

 

Shelbylee :

- Billet de présentation

- La voleuse de livres, de Markus Zusak.

 

Philippe Dester :

- Billet de présentation.

- Dans le berceau de l'ennemi, de Sara Young.

- Effroyables jardins, de Michel Quint.

- Les enfants des Justes, de Christian Signol.

- La demoiselle des tic-tac, de Nathalie Hug.

 

Martine :

 

Camille :

- Billet de présentation

- Lune noire, de John Steinbeck. (rétroactif)

- Les derniers jours de Stefan Zweig, de Laurent Seksik (BD) (rétroactif)

- Idéologie et terreur, d'Hannah Arendt. (rétroactif)

- Le code d'Esther, de Yohan Perez. (rétroactif)

 

Claudia Lucia :

- Au fond des ténèbres, de Gitta Sereny. (rétroactif)

- Le fer rouge de la mémoire, de Jorge Semprun. (rétroactif)

- La voleuse de livres, de Markus Zusak. (rétroactif)

- L'oiseau bariolé, de Jerzy Kosinski. (rétroactif)

- Gibier d'élevage, de Kenzaburo Ôé. (rétroactif)

- La compagnie des spectres, de Lydie Salvayre. (rétroactif)

 

Chapitre Onze :

- Billet de présentation

- Le Jardin des Finzi Contini, de Giorgio Bassani. (rétroactif)

- Le nazi et le barbier, d'Edgar Hilsenrath. (rétroactif)

- Kinderzimmer, de Valentine Goby.

9 février 2014

Reprise du challenge "Seconde Guerre Mondiale" initié par Ollie sur Livraddict !

    Vous vous en souvenez certainement si vous suivez ce blog régulièrement, je m'étais inscrite au challenge "Seconde Guerre Mondiale" initié par Ollie sur Livraddict en août dernier. Ollie ne souhaitant plus s'en occuper elle m'a proposé de prendre la suite.
    Après le fiasco du challenge "Marcel Pagnol" (qui est toujours en cours) créé sur mon blog, j'ai eu à nouveau envie de m'occuper d'un challenge, la proposition d'Ollie est donc tombée à pic !

Je vais donc vous en présenter le principle, qui je l'espère vous plaira :

- Le but de ce challenge est de lire un maximum de livres autour de la Seconde Guerre Mondiale. Tous les genres littéraires sont acceptés (romans, nouvelles, BD, poésies, théâtre, témoignages, (auto)biographies, journaux intimes...) tant qu'ils rentrent dans le thème !

- Tous les aspects du conflit peuvent être représentés (le conflit en Europe, la lutte américano-japonaise dans le Pacifique, les batailles d'afrique du Nord, la Shoah...).

- Le challenge est bien évidement illimité dans le temps et j'accepte les billets rétroactifs, vous me les transmettrez dans les commentaires ci-dessous.

Vous pouvez vous inscrire dans les commentaires en bas de la page ou sur la page du challenge sur Livraddict crée précédement par Ollie et un billet de présentation du challenge serait bienvenue (si vous voyez ce que je veux dire... ;) )

Puisque un challenge sans logo n'est pas un challenge, voici celui crée par Tachas :

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En vous espérant nombreux pour cette version "2.0" du challenge :)

8 février 2014

Ostinato en vadrouille #2 : Exposition Astérix à la Bibliothèque Nationale de France.

   

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    C'est en lisant Astérix chez les Pictes en octobre dernier, que l'envie m'est venue de me replonger dans l'univers d'Astérix et ainsi un peu mieux connaitre son histoire. N'ayant entendu parler que très récement de l'exposition qui lui était consacré à la BNF, je me suis précipitée d'aller la voir avant la fermeture. Face à son incroyable succès (amplement mérité), la durée de l'exposition s'est allongée d'une semaine et a fermé ses portes le 26 Janvier 2014.

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   Je m'attendais, comme pour l'Exposition Pixar vue le mois dernier, à une visite assez courte mais néanmoins bien construite et constituées de nombreuses oeuvres. Quelle n'a pas été ma surprise en découvrant une exposition divisée en trois parties et retraçant absolument tous les éléments reliés de près ou de loin au petit Gaulois moustachu !

   La visite commence par une présentation attractive des deux auteurs originels, Goscinny et Uderzo, leur rencontre et leur premier projet commun avant la création de Pilote et d'Astérix. Puis, nous découvrons les sources historiques et artistiques qui ont imprégnées ce chef-d'oeuvre de la BD qui montre toute la portée satirique des planches du tandem Goscinny/Uderzo.

   Une fois que tout l'aspect consacré aux origines ait été développé, l'exposition centre l'attention sur chacun des personnages importants de la BD :Les deux héros bien sûr, mais aussi Idéfix, les différents membres du village, les camps romains entourant le village, César... On a ainsi une mine d'informations et d'annecdotes sur la création de chacun d'eux (Idéfix n'aurait pas vu le jour si les lecteurs n'avaient pas insistés). L'ensemble est très riche et très complet, on y trouve des planches d'origine, des notes manuscrites de Goscinny, des scénarii et même des pièces archéologiques ! (un chaudron en bronze ou encore un casque ailé en métal...). L'alliance des deux était intéressante car elle permettait de rapeller le lien que constitue la BD entre Histoire et humour.

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    Enfin, la troisième et dernière partie de l'exposition s'attache quant à elle à l'ampleur mondiale qu'à pris au fil des années Astérix. En dehors des très classiques couvertures d'albums en langues étrangères, on trouve plusieurs autres types de documents : des extraits d'interview, des unes de journaux d'époque, des produits dérivés divers et variés, des publicités, des photos du parc d'attraction et évidement des extraits des différentes adaptations cinématographiques (animées ou en prise de vue réelle). Heureusement, l'exposition ne fait pas qu'étaler tous ces objets, elle propose une analyse qui permet de mieux saisir les raisons de ce succès mondial. On a également pu voir des explications sur les différents types de comique présents dans les albums, les inspirations littéraires et cinématographiques... Bref, à la fin de la visite, on frise l'overdose et on irait presque dire que l'expos est trop complète  !

   Je suis vraiment admirative de l'ampleur du travail de recherche et d'analyse établit par les créateurs de l'exposition, l'ensemble était exceptionellement riche et bien documenté, c'était un véritable plaisir de déambuler dans les différentes allées. L'exposition était adaptée à tous les âges et comportait un véritable intérêt pour les amateurs, d'art, d'histoire et bien sûr de BD. Le succès est mérité et je ne peux que souhaiter d'autres expositions de ce type !

Ce billet est une nouvelle participation au challenge de Shelbylee "L'art dans tous ses états"

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4 février 2014

Novecento : pianiste, d'Alessandro Baricco.

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     Lu dans le cadre d'une lecture commune partagée avec Eimelle, Lili, Jostein et Miriam, Novencento: pianiste est un monologue théâtrale d'Alessandro Baricco. Selon son auteur, Novecento se situerait "à mi-chemin entre une vraie mise en scène et une histoire à lire à voix haute". Je partage son avis et j'irai même plus loin en disant que ce texte pourrait être considéré comme un véritable conte pour adulte, pleins de charme et de poésie.

     C'est d'ailleurs ce qui m'a fait considérer ce court ouvrage comme un véritable coup de coeur. La poésie traverse le texte du début à la fin, on est charmé par l' histoire de Danny Boodman T.D. Lemon Novecento, l'homme qui n'a jamais mis les pieds sur terre (au sens propre comme au figuré). On est emporté par le récit qui nous est conté par son meilleur ami. La musique de l'Océan jouée par Novecento plusieurs fois dans le récit et hymne symbolisant sa différence nous berce et on voyage, sans nous en rendre compte, dans un bateau transaltlantique dans les années 1920-1930, période charnière de l'imigration européenne vers les Etats-Unis.

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    Cette dimmension temporelle est importante car grâce à ce récit, on visualise certains aspects historiques sur la vie des passagers des différentes classes dans ces bateaux à travers le regard des musiciens de l'orchestre (ce qui m'a fait penser au film Titanic de James Cameron). On éprouve une certaine tendresse pour les voyageurs de la 3ème classe ainsi pour les musiciens qui ne sont là que pour servir de distraction aux passagers. Ceux-ci en oublient même de prêter attention au génie musical de Novecento qui traverse néanmoins les océans et acquiert une certaines renommé dans tous les ports...

    Comme dit précédent, j'ai beaucoup aimé cette ouvrage par la musicalité et la poésie qui s'en dégage. J'ai été émue par la relation d'amitié entre Novecento et le personnage-narrateur qui s'est établie grâce à la musique. J'ai aimé la plume de Baricco que j'ai découverte grâce à cet ouvrage et je souhaiterai lire d'autres de ses oeuvres en espérant qu'elles soient de même qualité.

    Novencento: pianiste est donc une histoire qui m'a faite vivre toutes les émotions et qui m'a enmenée dans une bulle hors du temps, comme dans un songe ou un rêve éveillé sur un fond de ragtime ou d'un solo de jazz... Bref, un livre qui m'a transportée et qu'il faut lire absolument.

 

Cet ouvrage était donc une lecture commune que j'ai initiée avec Eimelle mais il est aussi une participation à une multitude de challenges auxquels je partcipe : Le plan Orsec 2014 chez George, les challenges "Il Viaggio" et "Théâtre" chez Eimelle, et le challenge "La littérature fait son cinéma" chez Will car ce monologue a été adapté au cinéma par Giuseppe Tornatore sous le titre La légende du pianiste sur l'océan. Sans oublier le challenge "Des notes et des mots" chez Anne.

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